lundi 31 octobre 2011

Parce que vraiment je suis une fille bien...2ème cadeau d'Halloween

Parce qu'ils s'amusent bien et que c'est beau et que c'est drôle.... (et ils ne bossent toujours pas!)



THE WHOVIAN WILL RULE THE WORLD!

Cadeau d'Halloween - Vous croyez qu'ils bossent mais en fait...non

Spécial cadeau d'Halloween: et comme je n'ai rien qui fasse peur en stock (sauf des weeping angels mais là ce serait cruel) je vous offre un délire spécial Doctor Who!

Quand l'équipe au grand complet de Doctor Who se prend un (énorme) délire sur 500 miles, ça donne ça:



On se dit que l'ambiance devait vraiment être sympa et on aurait bien aimé y être! L'époque Ten n'a pas fini de nous surprendre ^^ Enjoy!

vendredi 28 octobre 2011

L'assassin du roi - Robin Hobb - L'assassin royal tome 2


Présentation de l'éditeur: Fitz, le bâtard royal, a survécu à sa première mission meurtrière, mais son contact avec la mort lui a laissé d’inaltérables séquelles. Revenu à Castelcerf, il retrouve celle qu’il a aimée, mais ne peut lui déclarer sa flamme sous peine de la condamner irrémédiablement. Car autour de lui, la Cour fourmille d’intrigue, les menaces se resserrent, la mort rôde. Il a pourtant quelques alliés dans la place : un prince qui lui fait découvrir les mystères d’une magie toute puissante, un maître assassin qui lui veut malgré tout du bien, et un loup, avec qui il partage lien étrange et périlleux...

Après la lecture commune de cet été avec Kusa, Pandamouflé et Pandora Black du Tome 1, je me suis enfin décidée à lire le tome 2.

Cette fois ci, pas de longue présentation et mise en place des personnages. L'histoire reprend là où on l'a laissée. Fitz très affaibli par l'attaque de Royal, se remet difficilement de ses tremblements et de ses crises. Alors qu'au château de Castelcerf de grands changement ont eu lieu, Fitz doit faire face à des missions de plus en plus périlleuses.

Je suis beaucoup moins emballée par cette lecture que par le premier tome. Non ce n'est pas Fitz qui me pose problème, au contraire je l'aime bien et je comprends pourquoi il se plaint, il faut dire que quand 3/4 du palais vous appelle "Le bâtard" et que l'autre tiers veut votre peau ce n'est pas évident d'avoir envie de ce lever tous les matins. Non, vraiment je l'aime bien Fitz, ce n'est pas le tête à claques que Kusa m'avait décrit.
J'aime aussi beaucoup Vérité même si par moment (et je regrette l'Ancêtre vénérable) je le trouve inconsistant! Kettrichen est beaucoup plus forte que lui et ça m'agace. J'aime beaucoup trop Vérité pour le voir si peu exploité.
Dame Patience m'agace et me fait rire en même temps (mais je crois que c'est le but) et surtout je me lasse du fou...il est bien mais je n'accroche pas au final.

Ce que je reproche à l'assassin royal c'est la longueur de l'histoire. Alors certes ça avance, mais pas assez vite à mon goût et j'ai l'impression que ça traîne. A la fin de ce tome 2 j'ai l'impression qu'il y a eu finalement moins d'action que dans le tome 1 qui plaçait l'intrigue. Je m'attendais à quelque chose de plus dynamique. Honnêtement pour un assassin royal, je trouve Fitz assez mauvais et je m'attendais à ce qu'il prenne ses responsabilités. Je trouve finalement qu'il tient plus du courtisan que de l'assassin et ça m'a déplu.

Sinon l'écriture de Robin Hobb est toujours aussi plaisante, le monde qu'elle a créée est épais, dense et extrêmement crédible. Je n'ai rien à lui reprocher de ce côté là.
Néanmoins je pense que ma lecture s'arrêtera là pour le moment je n'ai pas envie de m'avancer dans les tomes suivants.

Hunger Games (t.1) - Suzanne Collins



Présentation de l'éditeur: Dans un futur sombre, sur les ruines des Etats-Unis, un jeu télévisé est créé pour contrôler le peuple par la terreur. Douze garçons et douze filles tirés au sort participent à cette sinistre téléréalité, que tout le monde est forcé de regarder en direct. Une seule règle dans l'arène : survivre, à tout prix. Quand sa petite soeur est appelée pour participer aux Hunger Games, Katniss n'hésite pas une seconde. Elle prend sa place, consciente du danger. A seize ans, Katniss a déjà été confrontée plusieurs fois à la mort. Chez elle, survivre est comme une seconde nature...

J'ai beaucoup entendu parler de cette série avant de m'y mettre. Sur Whoopsy plusieurs personnes avaient avalé les trois tomes d'un coup. Lorsque je les ai trouvé à la bibliothèque je n'ai pas pu résister à la tentation.

Comme décrire Hunger Games? Tout d'abord, ce premier tome est un foyer de réflexion sur la société et ses comportements. Dans un pays (ex-USA) nommé Panem, la capitale, Le Capitole, contrôle les treize districts chacun lié à une fonction bien précise. Suite à la rébellion des 13 districts, le Capitole soumet les douze premiers districts à sa loi tandis qu'il raye de la carte le treizième. Depuis lors, chaque année lors de la fête des moissons, un jeune homme et une jeune fille de chaque district entre 12 et 18 ans sont tirés au sort pour participer aux Hunger Games. Le but des jeux? S'entretuer dans l'arène sous les yeux de tout Panem pour qu'il n'en reste qu'un.

Katniss est une fille du district Douze, le district pauvre du charbon et des mines dangereuses. Son père est mort lorsqu'elle était jeune et depuis elle doit prendre en charge sa mère, dépressive depuis la mort de son mari, et sa jeune soeur Primrose. Avec son ami Gale, elle chasse dans la forêt interdite en dehors des frontières du district. Lorsqu'elle est tirée au sort, Peeta, le plus jeune fils du boulanger est désigné pour partager son sort. Commence alors les Hunger Games.

Derrière le divertissement et le spectacle, Suzanne Collins apporte une réflexion intéressante sur la télé-réalité, la société en général et la violence. Les douze districts, leur spécialisation montre une idée de la société particulière: les premiers districts, ceux qui travaillent pour le Capitole sont les plus riches, et leurs enfants appelés les "carrières" sont entraînés depuis le berceau pour les Hunger Games. Y gagner est un but, un honneur. Les districts qui exploitent les matières premières comme les districts onze et douze sont les plus pauvres et les familles y meurent de faim.

J'ai beaucoup aimé l'organisation des Hunger Games décrit par Suzanne Collins. La méthode de tirage au sort, le nombre de fois qu'un nom peut être tiré, la préparation des Hunger, la cérémonie, les sponsors...ce jeux est vraiment bien pensé du début à la fin.
L'écriture de Suzanne Collins n'est pas la plus fine que je connaisse mais elle est captivante. On s'attend à une entourloupette à chaque seconde, la moindre ligne peut renfermer une trahison. De qui Katniss doit-elle se méfier? De Cato, le carrière du district deux ? ou de Peeta son propre "partenaire"?

J'ai beaucoup aimé le personnage de Peeta, de Prim et de Rue. Je les ai trouvé très réaliste et touchant. Katniss est un personnage assez dur à cerner, notamment parce qu'elle est très secrète et dure. Même si le récit est fait à la première personne on ne sait pas toujours comment elle va réagir. Au final j'ai l'impression de mieux comprendre Peeta que Katniss!

La critique de la société que démontre Suzanne Collins est très fine car elle parcourt le livre en filigrane. En espérant que cela continue sur le tome 2, j'ai fait une petite pause car malgré le ton passionnant de ce roman il est assez dur et "émotionnant".

vendredi 21 octobre 2011

Percy Jackson - Tome 1: le Voleur de foudre - Rick Riordan


Présentation de l'éditeur: Je n'ai jamais voulu être un demi-dieu. Une vie de demi-dieu, c'est dangereux, c'est angoissant. Le plus souvent, ça se termine par une mort abominable et douloureuse. Il se peut que vous soyez des nôtres. Or, dès l'instant où vous le saurez, il ne leur faudra pas longtemps pour le percevoir, eux aussi, et se lancer à vos trousses. Je vous aurai prévenus.

Cela faisait longtemps que je voulais commencer cette série. J'en avais entendu beaucoup de bien. J'ai donc commencé ce premier tome et j'ai passé un très agréable moment avec Percy (en fait Persée) Jackson.

Je suis entrée dans l'histoire très facilement. Dès le début, Percy Jackson nous met à l'aise en disant qu'il a fait exploser sa prof de maths. Je trouve cette perspective particulièrement alléchante. Un peu comme dans tous les romans jeunesses, on se doute vite de quoi il retourne alors que le héros est encore dans les choux. Mais ça ne m'a pas gêné du tout car l'humour et le ton cynique de Percy rend la lecture très agréable.
J'ai adoré l'ambiance avec tous les Dieux grecs et la mythologie à chaque coin de page. Je trouve vraiment excellente cette idée de remettre la mythologie aux goûts du jour. Rick Riordan arrive d'ailleurs très bien à adapter la mythologie grecque au monde actuel. Il trouve de bons stratagèmes.

Les personnages sont attachants. Percy et son côté impulsif, un peu à côté de la plaque, Annabeth et sa gravité et Grover et sa maladresse forment un trio surprenant mais bien mené. Le personnage de Chiron est intéressant lui aussi, son côté paternaliste et le fait qu'il en sachant plus qu'il ne le dit le rend très mystérieux.
J'ai adoré Hadès!!! Je me le représente toujours un peu comme le Hadès de Disney, il me fait mourir de rire. Celui-là est un peu moins drôle mais tout aussi cocasse finalement! J'aime bien le fait qu'Hadès ne soit pas un gros méchant finalement je trouve ça toujours facile de lui coller tout sur le dos. Il faut dire qu'être Dieu des morts ça ne rend pas gai...

L'Histoire est très bien ficelée avec de très nombreux rebondissements. Rien n'est aussi simple que cela en a l'air. C'est particulièrement important car j'ai très envie de découvrir la suite, je me dis que nous ne sommes pas au bout de nos surprises et je n'ai pas encore vu tous les personnages!
Je vous avoue que je suis très pressée de découvrir Perséphone et voir comment il la représente.

Je n'ai pas encore vu l'adaptation mais je compte y remédier très vite!!!

Lu dans le cadre du Challenge littérature jeunesse de Whoopsy Daisy!

jeudi 20 octobre 2011

L'attaque du Casino de Malo - Bernard Thilie




BONNE SURPRISE DE LA RENTREE!

Présentation de l'éditeur: "Dans le nord de la France au début des années soixante, Fernand Gérard et Emile, trois pieds-nickelés à court d’argent, ont jeté leur dévolu sur le casino de Malo-les-Bains. Pour s’emparer de la caisse sans se faire remarquer, ils ont imaginé un stratagème : entrainer dans leur périple les pensionnaires d’une maison de retraite. Qui se méfierait de quelques grabataires et de leurs infirmiers venus fêter le réveillon du Nouvel An au bord de la mer ?"

En ouvrant ce livre j’avais peur d’y découvrir un ouvrage plus ou moins sérieux sur un braquage de Casino dans le pur style Mesrine. Un truc un peu tristounet. Il faut dire que le grand banditisme ce n’est pas trop mon truc et que Roubaix dans les années soixante ça sent l’angoisse !
Evidemment dès les premières lignes on se rend compte que ce n’est pas du tout le cas et qu’on vient de s’embarquer dans une aventure assez folle. La faute à nos trois compères.
L’attaque du Casino de Malo est la suite de Nuit de Chine dans lequel nos trois pieds-nickelés ont cambriolé le musée des Beaux-arts de Lille. Non pas qu’ils se soient plantés, c’est même tout le contraire mais le tableau volé était un faux, mis là par le musée pendant les travaux de rénovations. Non décidément agir de la sorte n’est pas honnête et bientôt les voilà qui échafaudent de nouveaux plans, embarquant avec eux, femmes, enfants et vieillards de l’hospice.
Dès les premières pages nous tombons dans l’ambiance bon enfant qui lie les trois compères. Fernand et ses histoires de cœur, Emile et son amour immodéré de la bouteille (et de l’œnologie poussée) et Gérard, le radin du groupe forme un trio chaleureux et un peu timbré. Leur retrouvaille hebdomadaire à la piscine municipale, les visites au vieux Prosper au le mouroir municipal et leurs idées farfelues sont autant de moment de détente et de fou rire. La galerie des personnages cocasses est loin de s’arrêter à ces trois fêlés du plan foireux. Entre Prosper, Nez rouge et Christiane (qui se la joue poids lourd de la jambe légère) la joyeuse bande à de quoi faire !
J’ai beaucoup aimé l’écriture de Bernard Thilie. Il a une façon particulière de rendre les gens attachants et puis la description de Roubaix dans les années soixante est loin d’être tragique. On aurait pu penser que Bernard Thilie nous apporte la description d’un Roubaix triste et grisonnant, or il le fait mais avec beaucoup d’humour ce qui rend le roman très léger. Il maîtrise d’ailleurs très bien ce style légèrement parlé mais toujours tellement cocasse qui rend son livre passionnant. Malgré la pluie et la guerre d’Algérie, l’aventure des trois compères prend des proportions hollywoodiennes. C’est qu’ils s’y connaissent en filouterie ! Surtout c’est que contre toute attente ils se révèlent plutôt ingénieux ! Pourquoi s’arrêter là ? Juste pour le plaisir…
J’ai beaucoup rit avec ce roman, une histoire d’amitié, de coup de folie avec une petit goût de n’importe quoi qui vous fait sourire le reste de la journée.
Extraits: « Nez rouge devait son surnom à la consommation quotidienne et importante de boissons diverses et variées, parfois hors normes. Ces breuvages avaient donné à son appendice naturel une coloration et un volume qui passionnait l’Académie de médecine. Il avait été approché, mais pas de trop près quand même, pour en faire don à la science. […] Pour la picole, Emile reconnaissait en lui un maître, et il s’y connaissait, Emile, intarissable sur le sujet : - Y a pas, il marche à l’antigel comme personne, je n’ai jamais rien vu de pareil. Ce n’est pas lui qui nous pètera un joint de culasse en hiver de manière impromptue. C’est bien simple, quand je sors avec lui, j’ai l’impression d’être sobre, c’est vous dire ! »

« Si les plages du Nord n’avaient rien de folichon en été, en novembre on frisait l’horreur intégrale. »
Je remercie beaucoup Les agents littéraires et Ravet-Anceau pour cette superbe découverte, à cause de vous j'avais des fous rire toute seule dans le métro....

mercredi 19 octobre 2011

Le sang des farines - Jean-François Parot (série Nicolas le Floch)


Présentation de l'éditeur: "Nicolas Le Floch, commissaire au Châtelet sous le règne du jeune Louis XVI, se trouve plongé au cœur de terribles événements à la fois politiques et personnels. De retour d'une mission en Autriche où il fait d'étonnantes découvertes sur les atteintes portées au Secret du Roi, il retrouve un Paris en colère où la guerre des farines fait rage. Avec le soutien du roi et l'aide de ses fidèles amis, il enquête sur la mort suspecte d'un boulanger qui l'amène bientôt à soupçonner un complot et des liens entre ces événements et ceux survenus à Vienne. Les mystères s'accumulent et Nicolas devra faire vite pour résoudre cette affaire qui met en péril l'équilibre déjà précaire du pays ainsi que son propre fils."

Comment dire que je suis un peu déçue par cet opus. Pourtant il est toujours magnifiquement bien écrit, dans un style qui reprend celui du XVIIIe siècle à la perfection. Nous retrouvons avec beaucoup de bonheur notre cher Nicolas, son fils et ses amis (Rabouine, Bourdeau, Secmagus et Monsieur de Noblecourt) mais je n'ai pas accroché.

Pourtant l'histoire commençait bien avec un mystère viennois à la clef, des énigmes de cour, des gens qui apparaissent et qui disparaissent et les brumes du début du règne de Louis XVI. Mais, parce que oui il y a un mais, le crime commit au milieu du roman perd très vite de l'intérêt parce que trop délayé.

C'est le reproche principal que je ferais à ce roman il est trop dense, l'action est trop touffue et précise. En plus de notre mystère viennois et des intrigues de cour, on rajoute un meurtre et se noie dans les méandres d'une révolte parisienne "la révolte des farines" qui vise Turgot et ses réformes sur le prix du blé. Même si on sent la documentation de Jean-François Parot sur le sujet et le fait que tout ça est très bien imbriqué dans l'intrigue principal, JF Parot m'a perdu dans son intrigue.

Au final je n'avais plus tellement envie de savoir qui était le coupable. Je crois que je préfère lorsqu'il garde une trame de polar classique et qu'il l'incorpore dans le Paris XVIIIe. Une petite déception dans la série. J'espère que le tome suivant sera un peu plus dynamique.

Partie du challenge, la vie de château!

mardi 18 octobre 2011

La vérité du jour!

Parce que je suis de très bonne humeur et que ce dessin correspond tout à fait à la réalité (enfin la mienne et au moins celle de mes topines de blog) :


source: geekaresexy.net


Le FANTASWAP débarque à la maison!


J'ai reçu mon paquet, j'ai reçu mon paquet!!!! Je l'attendais avec impatience (surtout depuis que ma swappeuse m'avait dit que le colis était parti) et donc aujourd'hui, un super paquet, super gros et super lourd m'attendait sur la table de la cuisine (oui j'ai de gentils porteurs moi).

Pas de suspens donc ma swappeuse est : SUPERIDOLE ! (bon je le savais déjà mais c'est pas grave!)

J'ai donc déchiré avec fébrilité et le plus proprement possible, le papier craft et le scotch (il y en avait dis donc!) pour découvrir:

TADAMMMMMMMMMMMMMMMM

Cette super boîte décorée! Elle est décorée dessus, dedans, et sur les côtés. Il y a tout ce que j'aime: Indiana Jones, Harry Potter, Gary Oldman, Doctor Who, River Song, Ten, Eleven, Fringe, Doctor Who (je l'ai déjà dit non?), John Noble, Torchwood, Doctor Who (non mais vous êtes vraiment sûrs que je l'ai déjà dit?)


Bref! Rien que la boîte elle déchirait sa maman et j'étais en extase.

J'ai bien du ouvrir quand même et là miracle...que dis-je miracle...Bonheur et Béatitude réunis! Le paquet débordait de cadeaux, il débordait tellement qu'un livre était emballé dehors (oui ma swappeuse a tenté le"Bigger on the inside" mais apparemment c'est encore un coup des Time Lords).


Qu'est-ce qu'il y avait alors?


D'abord de superbes enveloppes avec plein de cadeau dedans (oui oui bigger on the inside on vous dit). Et une carte postale toute belle du Doctor et de Rose (et de la Tardis trop sexy baby) avec un mot tout gentil de SuperIdole qui s'excusait de ne pas maîtriser la technique "bigger on the inside" mais je lui pardonne de tout coeur.

Je vais commencer par les livres, il y avait donc:

- Le feu de la sorcière : les bannis et les proscrits de James Clemens que je ne connais pas du tout donc je vais découvrir ça :D
- Soulless de Gail Carriger, depuis le temps que je piétinais pour le lire celui-là, SuperIdole m'a apporté un cadeau de Noël avant l'heure (j'ai même failli l'acheter à Londres il y a trois semaines c'est vous dire).
- Doctor Who: inside the story, un livre sur la création de la série, les costumes, le maquillage itou itou (j'ai hâte de me plonger dedans)
- Science fiction: la frontière de la modernité, un essai sur la science fiction! J'ai été purement bluffé par cette trouvaille! Merci SuperIdole.

Donc côté livres elle n'a pas lésiné (quand je vous dis que j'ai été pourrie gâtée)

Et ce n'est pas fini! (c'est là qu'on voit les pro). J'ai donc eu aussi *bounce*

- une tablette de chocolat extra noir (dont les morceaux sont déjà prédécoupés merci la Poste)
- Trois badges supra cool "I love Doctor Who" (hiiiiiiiiiiiiii), "I love books" (re Hiiiiiiiiiiiiiiiiii) et "I love Sirius Black" (AHHHHHHH, cri hormonal non maîtrisé comme dirait Nanou).
- Un poster démentiel : l'affiche de la seconde partie de la saison 6 de Doctor Who

- Le Doctor Who magazine du mois de juin (the doctor's wife) avec un double poster (celui-ci dessous et un autre avec River et Rory au lac Ontario...le bonheur quoi)

- Un marque page Torchwood (Miracle day) avec Jack et Gwen

Et dans les enveloppes:
- Charlie et la chocolaterie de 1971 que je n'ai jamais vu ^^
- un bloc note super cool parce qu'on peut écrire en 3D dessus (j'ai les mêmes lunettes que Ten maintenant)
- un set de 6 photos représentant les membres de Torchwood
- et......the last but not least....l'audiobook de the Ressurection casket (DW) lu par David Tennant himself! (ça tombe bien celui là je ne l'ai pas)

Voila ce que ça donne une fois tout déballé!


Encore merci à SuperIdole tu m'as beaucoup top gâtée!

EDIT: plus d'un mois après la réception du colis, la boîte trône intacte dans ma chambre où elle semble avoir trouvée sa place. Je n'ai pas encore osé y toucher, tout est dedans ... O.o (ah si j'ai porté les badges, ils ont fait sensation!)

lundi 17 octobre 2011

J'ai gagné un livre!

Depuis plusieurs mois je participe avec plaisir chaque vendredi à Vendredi Lecture.
Le principe est simple: tous les vendredi, sur Facebook ou Twitter il suffit de partager sa ou ses lectures du moment. Durant le week end un classement des lectures est effectué et en général, quelques jours après, un tirage au sort a lieux pour gagner un livre gentiment proposé par un éditeur partenaire.

Cette semaine, c'est mon nom sur twitter qui a été tiré au sort! J'ai donc gagné "Ne cherche pas à savoir" d'Eric Wietzel! Ce livre publié aux éditions XO grâce à la participation de My major company books qui aide à la publication d'auteurs grâce au soutien d'internautes.
Une très belle initiative de la part des trois partenaires.


Ne cherche pas à savoir:
Présentation de l'éditeur: Anne, jeune journaliste française, renverse en scooter un inconnu dans les rues du vieux Naples. L’homme se réveille amnésique et n’a ni papiers ni téléphone. Bouleversée, Anne recueille cet étranger chez elle avant de comprendre qu’il n’a pas croisé sa route par hasard. Mais est-il venu à Naples pour la tuer ou pour la sauver ?
Une rencontre brutale, une femme traquée qui cherche à résoudre la plus mystérieuse des énigmes : celle qui nous lie à nos parents…

Merci encore à Vendredi Lecture, XO éditions et My major company books pour ce cadeau!

mardi 11 octobre 2011

Bleak House - 2005


Bleak house nous plonge dans les méandres d'une affaire judiciaire, Jarndyce et Jarndyce au sujet d'un testament. Les possibles héritiers se battent depuis des décennies au sujet de cette affaire. Mr Jarndyce, un des plaignants qui a depuis longtemps abandonné tout espoir d'obtenir le moindre penny, prend sous son aile Miss Ada Clare et Mr Richard Carstone, les pupilles de l'affaire Jarndyce, ainsi que la demoiselle de compagnie de Miss Clare, Miss Esther Summerson.
Pendant ce temps, la mort d'un certain Nemo va déclencher une réaction en chaîne entraînant la ruine de nombreuses personnes. (un résumé d'un Dickens normal en somme non?)

CASTING

Anne Maxwell Martin .......................................................... Esther Summerson
Denis Lawson ..................................................................... John Jarndyce
Carey Mulligan .................................................................... Ada Clare
Gillian Anderson .................................................................. Lady Dedlock
Tom Georgeson .................................................................... Clamb
Charles Dance ...................................................................... Mr. Tulkinghorn
Patrick Kennedy ................................................................... Richard Carstone
Timothy West ...................................................................... Sir Leicester Dedlock
Burn Gorman ....................................................................... Guppy
Hugo Speer .......................................................................... Sergeant George
Pauline Collins ..................................................................... Miss Flite
Philip Davis ......................................................................... Smallweed
Nathaniel Parker .................................................................. Harold Skimpole
Alun Armstrong ................................................................... Bucket
Richard Harrington ............................................................... Allan Woodcourt
Natalie Press ........................................................................ Caddy Turveydrop
Catherine Tate (bonus !!!!)

Que dire sur ces 15 épisodes qui compose la mini série Bleak House? Tout d'abord que l'adaptation est dense ce qui rend justice au roman (que je n'ai d'ailleurs pas lu, je tiens à le préciser). L'histoire a le temps de s'étaler, de prendre son temps et de nous offrir une fresque fabuleuse de l'époque Victorienne. Les personnages sont comme d'habitude chez Dickens bien campés/machiavéliques/grotesques mais toujours bien joué.

Ann Maxwell Martin est une Esther Summerson tout en finesse. J'aime beaucoup son jeu, tout en délicatesse mais aussi très ferme par moment. La vie d'Esther Summerson n'est pas une vie facile. Elle ne sait pas d'où elle vient, qui sont ses parents. Sa tante lui a toujours dit qu'elle n'aurait pas dû naître (pas facile de débuter dans la vie non?). Heureusement Esther a rencontré des gens biens comme Mr Jarndyce, Ada et Richard. Aussi, même si elle sait que ses perspectives d'avenir sont réduites (elle n'est d'ailleurs pas franchement belle), Esther est un personnage particulièrement fort, au caractère doux mais trempé. Ann Maxwell Martin offre donc un jeu qui ne démérite pas le personnage. On s'attache tout de suite à elle et on souffre au rythme de ses déconfitures (bon d'accord il y a aussi de bons moments!).

Denis Lawson est lui aussi sublime. Il nous offre un Mr Jarndyce tout en sympathie et en compassion comme seul Charles Dickens était capable d'en inventer un. D'une gentillesse sans borne, toujours de bons conseils et mesuré, il est un compagnon sur qui l'on peut compter. Si jamais il commet quelques impairs, il répare toujours ses tords commis souvent de bonne foi.

Mais la palme revient sans aucun doute à Gillian Anderson qui est plus qu'impressionnante! Je me souvenais d'elle dans X-files, elle me faisait l'effet de quelqu'un d'assez obtus et de froid. Pour le coup elle correspond parfaitement au rôle. Elle intériorise complètement le personnage qui prend une profondeur incroyable. Sa diction est assez particulière, les dents serrés, on sent que cette femme cache un lourd secret et qu'elle a souffert une bonne partie de sa vie. Gillian Anderson offre véritablement une sublime Lady Dedlock, je dirais que rien que pour elle il faudrait regarder Bleak House.

Pour les autres personnages on retrouve toute la gamme de Dickens: le jeune couple un peu niais à qui on donnerait volontiers des coups de pieds pour leur remettre le cerveau à l'endroit, le vilain par excellence manipulateur, les personnages secondaires généreux et l'inspecteur de police génial (oui oui il est cool, regardez jusqu'au bout).

L'histoire est complexe mais trouve des résolutions. On pleure beaucoup, on rit peu mais l'ensemble laisse vraiment une grande impression.
L'ambiance est extrêmement importante et bien mise en scène (personnellement c'est peut être malgré tout la chose qui m'a le plus dérangé, la mise en scène est beaucoup trop sombre).
Une très belle fresque signée par un très beau casting!

lundi 10 octobre 2011

Doctor Who saison 5 - GERONIMO - Oh my god he's wearing a Fèz ! (SPOILERS)


COUP DE COEUR DE PERSEPHONE

Je ne sais pas trop comment commencer ce billet. Tout d'abord la fin des épisodes spéciaux était assez remuante. Nous avons du dire adieux à notre cher Ten (Daviiiiiiiiiiiid) mais Tadammmmmmmmmm GERONIMO! Eleven a débarqué!

Je l'avoue j'ai eu Ten en tête pendant tout le pilote mais à la fin du premier épisode j'étais conquise et si Ten reste mon doctor préféré, je dois admettre que Matth Smith fait un travail formidable car ce n'est pas facile de passer après Ten et encore moins lorsque l'on joue sur le même créneau: jeune, foufou, parlant trop vite et sautant partout...
Mais il m'a conquise avec les poissons panés et la crème anglaise (ouais yeurk mais en fait ça passe et d'après Charlie "Socoollike" ce ne serait pas mauvais...oui il a testé mais en même temps il s'est électrocuté pour faire une vidéo alors...).

Je dois dire que je suis vraiment impressionnée parce qu'à fait Moffat. Ce n'est vraiment pas facile de reprendre une série pareille et de réinvestir son énergie pour créer de nouveaux personnages. Je sais bien que cette nouvelle saison (et la six à fortiori) ne fait pas l'unanimité. Beaucoup n'aime pas Eleven ni River Song. Je pense que le cap a été dur à passer. Il a fallut s'adapter à la fois à un nouveau doctor, un nouveau Tardis, un nouveau showrunner mais aussi à de nouveaux compagnons. Cela fait beaucoup d'un coup je l'admets.
Cependant, Moffat donne à ses personnages des storylines impressionnantes.

Autant le dire tout de suite: je suis une fan de RIVER SONG (river power). Du coup tous les mystères qui l'entourent m'ont ravie! Eleven et elle ont une interaction géniale, ils n'arrêtent pas de se chamailler comme un vieux couple. C'est assez drôle comme situation. Mais bon Spoilers!

Amy Pond est une nouvelle compagne géniale aussi! Elle est drôle, beaucoup plus rentre dedans que Rose et au caractère bien trempé de Donna. Le mélange prend bien, d'autant qu'on l'a rencontre alors qu'elle n'a que 10 ans. Amélia Pond est donc dès le début une compagne de choix.

Rory Williams....que dire de Rory Williams sinon que je l'aime d'amuuuuuuuuurrrrrrrr (oui gros faible pour Rory), mais comment dire que Rory est le petit-ami/fiancé/mari parfais et qu'on voudrait toutes le même? Il est là pour calmer les ardeurs du Doctor et d'Amy qui partiraient souvent en live autrement!

Moffat nous offre une saison pleines de rebondissement, de mystère, de retournements qui nous font dire à la fin de la saison : "Non! il n'a quand même pas osé?????" ET bien si, mesdames et messieurs, Moffat il ose tout!!!!!! et plus encore car la saison 5 laisse de nombreuses questions en suspens qui trouveront leur réponse dans la saison 6!

Come Along Pond!

The Eleven Hour: Premier épisode de la saison 5, il nous offre un Doctor (raggedy) survolté. A ses côtés Amélia Pond 8 ans, Amélia Pond 20 ans et Rory Williams. Après son crash dans le jardin d'Amy, le doctor apprend à vivre avec son nouveau corps, découvre de nouveaux goûts (fish fingers and custard) et récupère une toute nouvelle TARDIS! Carrément canon d'ailleurs, avec une piscine dans la bibliothèque. Ce premier épisode pose les bases de la saison, toutes les questions importantes sont là. A vous de les trouver.

The Beast Below: Le doctor a décidé d'emmener Amy en balade (après l'avoir fait attendre 2 ans, La Tardis a des problèmes de timing). A bord du Starship UK le doctor et Amy vont découvrir le secret du navire volant, rencontrer Liz 10. Amy se place comme véritable compagne par sa compassion et sa clairvoyance. (You rock Pond).


Victory of the Daleks: Churchill, 1941, la seconde guerre mondiale et des daleks. Le must pour un épisode à la fois inquiétant mais drôle où les Dalek ont trouvé les moyens de revenir sur le devant de la scène. Bon alors là les Daleks reviennent mais en version power ranger ce qui est assez funky. Mais gros problème Amy a oublié les Daleks....et là on se dit qu'il y a vraiment un problème quelque part.

The time of Angels et Flesh and Stone: sûrement mon double épisode préféré de la saison 5 avec le double de la fin (non non ce n'est pas seulement parce qu'il y a River et qu'elle ouvre l'épisode par un truc phénoménal non non...). C'est surtout parce qu'il y a les Weeping Angels, qu'ils me font flipper et que Amy prend de plus en plus d'importance. La faille spacio-temporelle (encore un Timey-Wimey thing) s'élargie menaçant de tout effacer. Un double épisode haletant, au niveau de Silence in the Library.

The Vampires of Venice: et c'est là que le Doctor découvre qu'Amy doit se marier avec Rory et qu'elle se jette sur le Doctor. Celui-ci décide donc d'emmener le petit couple en vacances romantiques à Venise. Pour les vacances romantiques on repassera mais en tout cas nous avons résolu l'énigme des vampires et True blood n'a plus qu'à aller se rhabiller.

Amy's choice: encore un épisode grandiose! Vraiment bien mené, tout à fait tordu, the Dreamord demande à Amy et Rory de choisir la version réelle parmi deux versions différentes de leur histoire. Un choix qui va finalement incomber à Amy, au risque de détruire le Tardis et ses occupants.

The Hungry earth and Cold blood : c'est là qu'on voit que la race humaine par moment ne vaut pas mieux qu'une autre et puis Rory meurt et disparait dans la faille. Est-ce qu'Amy va finir par se rappeler de lui? Un double épisode stressant mais qui fait avancer l'histoire.

Vincent and the Doctor: j'ai adoré cet épisode! Non seulement Amy et le Doctor font un arrêt en France pour voir Van Gogh mais on nous offre aussi une magnifique série de tableau sur le Tardis qui valent le coup d'oeil. Le mystère s'épaissit...

The Lodger: Craig est mister sofaman. Il ne bouge pas car il aime Sophie mais n'arrive pas à lui dire. Alors lorsque le doctor arrive chez lui pour être son nouveau colocataire et commence à monopoliser l'attention, Craig devient peut-être le seul homme capable de sauver la planète!

The Pandorica Opens et The Big Bang: une des meilleures fin de saison!!!!!!!!!!!!!!!!! C'est tellement puissant, River, Cléopatre, The last Centurion, Amy et Amélia, le Doctor, un fèz, QUE DU BONHEUR! J'aime énormément Amy dans cet épisode, le doctor et son Géronimo et bien sûr River car le mystère la concernant n'est absolument pas résolu. Pourquoi River est en prison?

Une série superbe, servie par de supers acteurs.

Leviatemps - Maxime Chattam


Présentation de l'éditeur: Paris, 1900. Guy de Timée, romancier à succès, vit pourtant dans les combles grinçants d’une maison close. Du jour au lendemain, il a tout plaqué. Il a décidé de se lancer dans un roman policier qui plonge dans les bas-fonds de la civilisation, de ce Paris que le monde entier admire. Il veut être confronté au sang et à la violence. A la mort, qu’il appelle de tout son être. Elle va surgir au milieu de la nuit en la personne de Milaine, jeune prostituée du lupanar, assassinée dans des circonstances particulièrement étranges. Et si elle n’était pas la première ? Qui rode dans les rues de la capitale, dans l’ombre de l’Exposition Universelle ? Quel est le sombre dessein de ce tueur de femme, qui ne laissera bientôt derrière lui que des costumes de peau ? En compagnie de la mystérieuse Faustine, de l’inspecteur Perotti et d’Yoshito, un Japonais impressionnant, sumo déshonoré, Guy va tenter de le découvrir…

J'étais assez fascinée par le résumé sur ma quatrième de couverture. Ca sentait le mystère, le crime et le steampunk. Bon autant dire tout de suite que j'ai été déçue.

Steampunk, il n'y en a pas (il faut sûrement blâmer les éditeurs et leur 4eme de couverture erronée plus que l'auteur mais bon...ça créé tout de même une déception).
Alors effectivement il s'agit d'une enquête policière dans le Paris de l'exposition universelle. Si le début était engageant, très vite j'ai décroché de l'histoire.

La représentation de la maison close est assez bien faite, ni tout noir, ni tout blanc, cela montre une maison plutôt à l'Appolonide qu'une maison sordide. D'ailleurs, le milieu de la prostitution parisienne est assez fouillé et les différences entre les maisons (plus ou moins sordides) sont bien détaillées. On comprend alors que toutes les prostitués ne sont pas égal face au client. C'est une partie du livre que j'ai vraiment apprécié, il n'y a pas de voyeurisme de la part des protagonistes et donc des lecteurs. Maxime Chattam expose des faits, nous montre une gamme de prostituées différentes et ce côté là était assez passionnant.

Cependant, cela ne suffit pas à combler les faiblesses du roman.
Tout d'abord, je le trouve beaucoup trop long. Si cela peut être appréciable chez Tolstoï, dans un roman policier, une action délayée est souvent un mauvais choix car on perd facilement le lecteur. De plus le personnage de Guy de Timée n'est (pour moi) pas crédible. Sorte de bourgeois fatiguée de la vie de luxe, il décide de partir dans les bas fond pour comprendre la vraie vie. Arrivé dans cette maison close il se prend de passion pour la recherche du meurtrier de Milaine.
Et la c'est le drame....
Chattam m'a vraiment perdue à ce moment là. Guy de Timée qui n'a jamais vu un cadavre de sa vie avant celui de Milaine devient un vrai Sherlock Holmes, mieux encore un véritable profiler qui établi un profil complet de l'assassin.

Alors, j'avoue j'ai lâché. Après avoir lu L'aléniste de Caleb Carr et sa documentation sur les premiers profiles, le livre de Chattam fait un peu carton pâte. Le personnage de Faustine ne m'a pas emballé non plus. Je ne sais pas si c'est le mélange prostistuée mais pas trop (elle peut quand même choisir ses clients.......il faut bien la garder un peu pure pour le héros) ou le côté déjà vu qui m'a gêné mais je l'ai trouvé trop caricaturale.

C'est vraiment dommage parce que l'histoire (le fond) était sans doute très bien, mais ce genre de détail m'a coupé l'envie de lire. Je n'ai pas fini le roman, je ne sais pas qui est le tueur et honnêtement ça ne m'a pas manqué.
La suite du Leviatemps est disponible mais je ne la lirais pas vous vous en doutez.

C'était mon premier Maxime Chattam et apparemment ce n'est pas le meilleur. J'essayerai néanmoins d'en lire d'autres pour me faire une bonne opinion de l'auteur.

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